Dossier de presse

2012/2013

Alice Ader - ŠJean-Baptiste Millot
 
Alice Ader, l'art des virtuoses…
Scherzo (Espagne)


Alice Ader restitue dans toute sa puissance et sans fioritures l'œuvre pour clavier de Ravel…On lui est reconnaissant d'en finir avec le cliché « horloger suisse »…

Télérama

Une merveilleuse technique qui s'exprime dans tout son spectre musical, de Bach à Ravel…
Kwadratuur (Belgique)

2011

Alice Ader
Une artiste exceptionnelle…
Classiscs Today USA

Pianiste hors catégorie…
La Libre (Belgique)

2010

Alice Ader, musicienne hors des sentiers battus, une femme qui nous est précieuse dans le monde grouillant des pianistes, par le répertoire qu’elle défend et surtout, la façon dont elle le joue.
Rodolphe Bruneau, France Musique

Une référence absolue des Tableaux d’une exposition. La pianiste laisse s’épanouir largement, dans la rondeur, la plénitude et une résonnance toute impressionniste. Son approche délicate n’est pas pour autant dépourvue de grandeur et de puissance… elle fera référence.
En nous offrant en prime une version d’Une Nuit sur le Mont Chauve, elle démontre qu’elle peut rivaliser avec l’orchestre en matière de couleurs, d’éclat et de contrastes.
Cadences
Même si je ne suis pas convaincu à 100% de l'intégralité des idées d'Alice Ader, cette remise à plat, en situation et en contexte des Tableaux est courageuse, fascinante et judicieuse. Je rapprocherai ce que j'entends là de la version orchestrale par Celibidache. C'est un genre de parallèle assez rare. La Nuit sur le Mont Chauve hachée est fantomatique à en faire peur et rien n'est fait pour plaire ou paraître. Les croches de Méditation sont égrenées à la main gauche pour faire ressortir davantage le "cantabile delicatissimo" de la main droite. Dans Une Larme, le passage central con sordino a un caractère furtif rare et précieux. Ader ose la nostalgie presque douloureuse de ces pages (cf. Rêverie), qu'elle alterne judicieusement avec les scènes villageoises et autres instantanés sonores populaires.Un album précieux et important.
Classiscs Today-France
Ader ose parfois un tel dénuement (Au village) que les larmes même manquent… C’est très réussi, les atmosphères sont justes, les semblants d’hésitation admirablement rendus ; une progression inexorable conduit à La Grande Porte de Kiev, qui ne se transforme pas en finale de concours de piano mais renforce, par sa lenteur tenue, le caractère sombre d’une interprétation organique et personnelle…
Diapason

2009

Bach a souvent été associé aux forts en thème – entendez, ceux qui jouent la musique contemporaine...Alice Ader, familière de la musique du XXème siècle, aborde L’Art de la fugue, l’œuvre la plus abstraite et redoutée, dit-on, de Bach. Ader trouve une clé possible à l’interprétation de ce monument dont elle préserve le mystère des possibles.
Le Monde
 
Par la très expérimentée Alice Ader, l’une des versions les plus inhabituelles à ce jour. Ader développe une interprétation spaciale unique et fait de cette œuvre un tout et non une succession de fugues... Tant dans la matière que dans les tempi, elle crée une multi- tude de contrastes. Sa vision totale de l’œuvre est irrésistible, un bel enregistrement live. Vivement recommandé.
All music Guide (USA)
 
On n’attendait pas Alice Ader dans Bach ni en live : le résultat est splendide, magique, cette version est à écouter chez soi car sublime... Le choix des tempi n’empêche pas la tension, bien au contraire, tout avance progressivement, sans peur, dans une lenteur sonore quasi orgasmique.
CD Compact (Espagne)
 
Il est toujours surprenant de trouver des personnes qui ne se laissent pas intimider et parient sur un Bach sincère et libre de tous préjugés. Ader construit l’œuvre avec un équilibre émotionnel étonnant... C’est un Bach qui exprime, qui transmet le recueillement et cherche entre tant d’intellectualité, à travers une poétique de subtilité, ce qui est essentiellement religieux, ce qui nous rapproche de la perfection que chacun appellera comme il veut. Surprenant.
Scherzo (Espagne)
Ce que l’on aime avant tout dans la version d’Alice Ader, c’est l’engagement de la pianiste, l’intensité de ton, la franchise et la concentration du propos, enfin la grande clarté polyphonique. Une version intense qui touche par son mélange d’intériorité et de grandeur…
Classica Répertoire
 

2008

Les tempos (différenciés comme jamais) et les caractères s’inscrivent dans une vaste narration où les contrepoints se répondent... Le discours semble naître de l’instant, dans un geste qui cherche autant qu’il construit.
Diapason
 
CD indispensable chez Fuga Libera : L’Art de la fugue sous les doigts d’Alice Ader. Tout y est merveille : la palette sonore (des graves à la Rembrandt), le justesse rythmique, l’in- telligence de la construction, la virtuosité grisante – mais jamais grisée d’elle-même – et le recueillement absolu. L’œuvre garde son mystère que la pianiste adoucit cependant d’une lumière sensuelle indicible. De la beauté à l’état pur. »
La Croix
 
Une interprétation lumineuse où la pianiste s’attache à retrouver l’élan spirituel de l’œuvre, à contre-courant d’une tendance répandue à l’abstraction.
La Terrasse
 
Elle est discrète, et pourtant c'est une grande dame du piano. Après avoir exceptionnellement servi le répertoire contemporain, elle revient au Théâtre de Poissy avec l'Art de la fugue de Bach. Ce concert sera l'occasion d'un enregistrement public. Dense et rare.
Télérama
 

2007

Alice Ader, une pianiste à la pureté de jeu et à la sensibilité rares. Scarlatti, Mozart, Franck, Chopin et Rachmaninov, un programme qui a fait découvrir la palette des talents de cette artiste, pièces difficiles où sa virtuosité, sa technique, son interprétation se sont exprimées de la plus belle des façons.
La Nouvelle République
 

2006

Quiconque connaît les enregistrements d'Alice Ader sait déjà combien cette musicienne est perceptive...
C'est avec une ligne sonore exceptionnellement claire et un sens infaillible du déroulement musical que ces deux fugues sont naturellement construites, avec évidence, du début jusqu'à la fin... Le toucher est tout simplement magique... Merveilleux !
Classics Today
 

2005

Sous ses doigts, le piano dispense avec générosité ses richesses sonores… Rigueur de la construction, ampleur de la respiration, absence de pathos…Alice Ader manifeste sans ostentation une personnalité qui distingue ses interprétations…
Pureté d’un jeu qui s’abstient de toute démonstration spectaculaire, un modèle de clarté. 
Le Monde de la Musique

C’est bien du piano que joue magnifiquement Alice Ader, avec un soin du détail et un respect de la partition qui la placent largement en tête de la discographie. Du piano ? On croirait pourtant entendre les anges…
Classica Répertoire
 

2004

Par leurs contrastes et leur force d'évocation, leur éloquente concision, les Éphémères, assemblées et enchaînées avec une précision quasi cinématographique (jusqu'aux variations des silences entre les morceaux) sont une réussite éclatante.
Classica - Répertoire David Sanson
 

2001

ALice ADerHôte d'un soir du théâtre des Bouffes du Nord, Alice Ader est de ces musiciens rares parce que d'une exigence extrême avec eux-mêmes, cherchant jusqu'à l'obsession à servir la musique qu'ils aiment. Fervente de Debussy et de Ravel, connaissant comme peu de pianistes français la musique viennoise, elle excelle aussi dans la création...
Bruno SERROU : La Croix

"... Et toujours on retrouve chez Alice Ader ce refus des effets faciles, cet étonnant dosage d'émotion et de retenue, son art du contrôle et de la suggestion. Les sortilèges sont là, et bien là."
Xavier Lacavalerie : Télérama

Votre dernier disque Debussy qui vient de paraître a, là encore, été accueilli de façon très élogieuse par la critique. Et il est vrai qu'en entendant la façon dont vous interprétez aussi bien Debussy, Mompou, de Falla, je pensais à une citation de Valéry que j'aime à répéter tant elle est admirable : "La plupart des hommes, écrit Valéry, ont de la poésie une idée si vague que ce vague même de leur idée est pour eux la définition de la poésie". Et bien quand on vous entend, Alice Ader, vous êtes un remède à cela, parce que votre poésie à vous, est un poésie si radieuse, aux arrêtes si vives, que finalement on sait où se trouve la poésie. Elle est là où vous êtes. Merci Alice Ader.
Jean-Michel DAMIAN : Cordes sensibles - France Musique

La pianiste Alice Ader a fait de la musique de Debussy une terre d'élection en même temps qu'un espace fertile où son talent d'interprète éclate d'une beauté très particulière. Alors que sort son troisième disque, important, consacré au compositeur, elle évoque ici les liens très étroits qu'elle entretient avec Debussy.
Franck FERVILLE : Classica

Alice Ader est une artiste rare. Rare en concert, rare au disque, elle ne se disperse pas. Coup sur coup, elle nous a pourtant livré trois enregistrements superbes consacrés à Messiaen et Debussy. Il était plus que temps de présenter cette pianiste française discrète mais impressionnante, longtemps méconnue mais dont le talent est digne des plus grandes dames du clavier.
Céline MARIE : Piano le magazine

Après un Premier Livre des Préludes de Debussy salué d'un 10 de Répertoire, Alice Ader nous propose son enregistrement du second livre des Préludes. Nous avons rencontré cette pianiste qui polit ses interprétations au disque comme autant de diamants, facettés et inattaquables...
Eric TAVER : Répertoire

C'est en 1994 que la plus discrète des grandes dames du piano français a fondé l'Ensemble Ader, qui porte son nom et à qui l'on doit, en plus de souvenirs de performances intenses et immaculées, un enregistrement d'anthologie du "Concert", de Chausson, prenant l'auditeur en otage de ses sortilèges somptueusement délétères... Plus personne n'ignore qu'il s'agit d'une musicienne capitale, audacieuse et visionnaire.
Eric DAHAN : Libération
 

2000

ADER DELIVERS WITH NATURAL AUTHORITY

Make no mistake, Ader is a superb pianist and knows the repertoire intimately. Yet,she made only a moderate impression with this repertoire, the appeal of whch is often more intellectual than visceral. Still, it was an impression that lingered and in some ways grew, making one want to hear more Mompou.

No one who heard the first half of the concert could have had any doubt that Ader would be superb in the selection of Debussy preludes that made up the second. Superb she was, from the awesome opening chords of Les Danseuses de Delphes through the nine other selections with which she held the audience in rapt attention.
Richard TODD : The Ottawa Citizen

Le festival Présences offre une carte blanche à la pianiste Alice Ader (Maison de Radio France - Paris).

S'il est vrai que les personnalités et les convictions musicales des compositeurs choisis sont très diverses, l'esprit Ader donne une unité à base de raffinement, de clarté et de précision. Grande interprète de Debussy, la pianiste a un sens de la couleur changeante, de la lumière diffuse et du poids ineffable; des valeurs subtiles qui irriguent son ensemble instrumental. Mais la force ou la violence peuvent être au rendez-vous si l'oeuvre l'exige.
Hélène JARRY : L'Humanité.

1999

LA MAGICIENNE DE DEBUSSY

Alice Ader et DebussyC'est qu'Alice Ader appartient au petit nombre de musiciens qui semblent créer la musique. Celle-ci sourd naturellement sous leurs doigts. La tête en maîtrise d'abord l'architecture secrète : jamais au cours de son voyage merveilleux, Alice Ader ne succombe à l'émotion dont elle inonde l'auditeur.

Sans ostentation, dans une humilité totale qui fonde l'authenticité de l'interprétation, elle est médium, magicienne de Debussy. Jacques DOUCELIN : Le Figaro.

1991

"Pour son retour à Gaveau, Alice Ader avait choisi un programme entièrement dédié à Mozart. La chose n'est pas courante ; l'état de grâce auquel, dans un répertoire périlleux entre tous, elle a fait accèder son auditoire encore moins !
Elle a offert un Mozart éblouissant de naturel et de vie. Désarmant de simplicité aussi, tant la musique s'écoule avec naturel sous ses doigts."
La Lettre du Musicien

"Lorsqu'au Festival Estival de 1988, Alice Ader donnait d'affilée les Vingt Regards sur l'Enfant Jésus de Messiaen, ce qu'il y avait de beau dans ce concert d'une densité incomparable, c'est que les doigts et l'esprit ne faisaient qu'un : pas d'effets, pas de fausse intériorité, pas de drame superposé. La musique était là, non pas le texte, ni plus un prétexte à se donner en pâture à l'émotion, mais quelque chose qui chantait, qui disait, qui s'ouvrait.
L'entend-t-on si souvent ?"
Renaud Machart : Le Monde - Extrait d'un portrait paru dans le livret du CD Debussy chez Erato.

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